PARKING LA POSTE / JEAN JAURÈS
Publié le mardi 21 octobre 2025 - La Garde – Var
Dernière ligne droite : le parking de La Poste / Jean Jaurès entre en service mi-novembre.
La première étape du projet cœur de ville s’achève avec l’aménagement du parking aérien à étages. Gratuit, ouvert 24/24h et 7/7 jours en accès sécurisé (système de contrôle par ticket), il est conçu sur 3 demi-niveaux (hauteur libre réduite) avec 216 places de stationnement dont 10 bornes pour véhicules électriques (extension possible). S’y ajoutent 18 emplacements pour motos et un espace dédié aux vélos. Il relève de la catégorie des parkings silo de nouvelle génération : un bâtiment en superstructure métallique largement ventilée (PLSV), plus léger, économique et moins polluant que les structures 100% béton. Une solution privilégiée pour sa sobriété énergétique (luminosité et ventilation naturelles), un terrassement moindre et une empreinte au sol réduite.
258 places de stationnement
Le parking La Poste / Jean Jaurès est surmonté de 450 m2 de panneaux solaires – qui alimentent le bâtiment. Il est complété par un pôle de services (4 plateaux dont 1 largement modulable, pour l’accueil d’activités) à toiture végétalisée. Validée par les Bâtiments de France, son architecture s’intègrera au cœur du parc urbain François Accusano* dont l’aménagement s’achèvera au 1er trimestre 2026. Pour conforter l’offre de stationnement, un parking d’une trentaine de places sera aménagé au nord-est du parc et une douzaine de places seront créés le long de l’avenue Roosevelt. Au-delà de la capacité de l’ancien parking de La Poste, au total, 258 places seront donc disponibles pour se garer gratuitement dans ce quartier du cœur de ville.
* Qui était François Accusano ? Né le 6 janvier 1920, Rue Raspail, ce jeune Gardéen est mort en service commandé le 23 septembre 1943, tué par balle, sur le pont de la route du Pouverel. Il avait une jeune épouse, Augustine Brun, et un bébé âgé de 2 mois. Son père, Charles Accusano, fut une figure de la Résistance aux côtés de Michel Zunino. Son grand frère Émile, emprisonné par les Allemands durant la guerre, rejoint le conseil municipal de La Garde à la Libération.




